JEANNETTE – CONTE EROTIQUE

CONTE ÉROTIQUE

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JEANNETTE I
NOUVELLE EROTIQUE

JEANNETTE

CONTE EROTIQUE

Ecrit par Ludovic Coué le 19 décembre 2018

En préliminaire, si j’ose dire, ce qui suit est un conte érotique très suggestif qui m’a été commandé par un ami fripon et friand du genre. Si votre imagination n’est pas morte et que vous avez quelque expérience dans le domaine concerné, il se pourrait que des images pornographiques viennent vous assaillir sans crier gare et titiller vos sens.

Je déconseille donc la lecture de cette nouvelle aux enfants qui pourraient apprendre trop tôt des pratiques qui ne les concernent pas encore; aux frigides, aux coincés du cul, aux culs bénis, aux grenouilles de bénitier et aux émasculés à qui cela ferait de la peine; aux manchots qui vivraient-là une terrible frustration; aux prêtres, enfin, qui pourraient remettre en question leurs vœux et sombrer dans les affres du doute et du regret.

J’allais oublier… Toute ressemblance avec blablabla… et patin-couffin… serait fortuite et pure coïncidence.

Maintenant, vous êtes prévenus. Si vous lisez la suite, c’est que vous le voulez bien et  vous savez que vous y trouverez ce que vous êtes venus chercher…

 

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Quand la température ambiante atteint des sommets en été, quelques heures avant l’orage, les sens s’enflamment rapidement. La moindre étincelle et ZOUF ! Il y a le feu à la pinède !

Ce que je vais vous conter-là, est l’aventure de la belle et jeune blondinette qui se prénomme Jeannette. L’été si chaud de ses vingt printemps va se révéler fort en émotions et riche en expérience…

Jeannette, fille aînée d’une fratrie de quatre beaux enfants grandit bien sagement dans la ferme parentale. Elle est de taille moyenne, plutôt fine et toujours enjouée. Ses cheveux blonds et fins sont coupés au carré et elle arbore fièrement une fière et jolie poitrine. Elle suit une scolarité sans difficulté, a quelques amis au lycée mais pas de petit ami; sans doute à cause de l’éloignement et de l’isolement de la ferme; sans oublier l’éducation parentale qui n’a jamais abordé le thème de la sexualité. A la maison, Internet est verrouillé et son usage surveillé.

La sexualité de Jeannette réside actuellement dans la seule masturbation qu’elle pratique régulièrement, consciencieusement et cela la contente grandement.

Au début, elle attendait d’être seule sous la douche ou le soir et d’être au lit pour enflammer de ses caresses son entrecuisse, en faisant d’abord glisser les doigts de sa main droite à l’intérieur de sa culotte, à travers sa belle toison dorée. De sa main gauche, elle titillait ses tétons après avoir humecté le bout de son index.

Doucement, elle malaxait sa vulve de gauche à droite en imprimant un léger mouvement du bassin puis imprimait une pression plus forte du majeur sur son clitoris qui gonflait déjà d’impatience. Elle terminait en glissant un doigt dans son vagin et l’agitait dans tous les sens. Il n’était pas rare qu’elle ne puisse contenir un gémissement arrivé à ce stade…

Mais cet été, peut-être à cause de la chaleur ou d’une libération hormonale, Jeannette a pris l’habitude de prétexter l’envie d’une ballade dans les bois pour s’isoler à l’écart de la ferme.

En plein jour, l’après-midi, vêtue de sa jupette, elle part hors de vue, s’abriter au milieu d’une petite clairière entourée de taillis touffus. Elle s’allonge sur l’épais tapis d’humus sec et tout en contemplant le ciel bleu et les rares nuages, baisse sa petite culotte à mi-cuisse et laisse ses mains partir à la découverte de son sexe et du plaisir que procure la jouissance. Rapidement, la culotte est repoussée sur les chevilles afin de pouvoir écarter les genoux et exposer entièrement son intimité.

Elle a vite réalisé qu’elle devait baisser sa culotte dès ses premiers attouchements car rapidement son sexe était trempé; et rien n’est plus désagréable que de porter une culotte mouillée. N’est-ce pas ?

Le fait de caresser son intimité et de se trouver allongée dans le bois, les jambes écartées sans culotte et son sexe ouvert, offert au monde entier l’excite terriblement et elle revient de ses après-midi torrides comme vidée, décontractée et… Heureuse.

Le soir, à la maison, lors du repas, elle doit lutter pour ne pas repenser à ses folles escapades car la simple remémoration de sa dernière séance lui fait monter le rouge aux joues et sa culotte se trempe à tordre, laissant une empreinte sur le skaï de sa chaise…

Aujourd’hui, samedi, il fait une chaleur à crever ! Les insectes sont nerveux et bourdonnent dans tous les sens; les chiens, eux, se tiennent à l’ombre et le reste de la famille est parti en ville. Jeannette a prétexté devoir travailler ses cours pour pouvoir rester à la maison. Seule.

Une fois tout le monde parti, que le bruit du moteur du break familial a disparu depuis un moment, Elle reste devant la baie vitrée de la salle à manger qui donne une large vue sur de vastes étendues de champs de blé, de bosquets et de maisons au loin.

Le double vitrage se trouve derrière un léger voilage qui protège l’intimité de la maison tout en laissant entrer suffisamment de lumière.

Jeannette se tient devant la vitre, écarte un peu ses pieds, passe sa main sous sa jupe et glisse ses doigts dans sa petite culotte en coton rose, le long de son mont de Vénus, à travers ses poils blonds et frisés. Elle enferme son sexe dans sa paume et exerce des pressions du bout des doigts sur sa vulve. Elle ferme les yeux un instant, les ouvre à nouveau.

Son cœur bat plus vite. Elle commence à mouiller.

Elle écarte les voilages. On pourrait la voir de l’extérieur maintenant. Elle descend sa culotte sur ses genoux et glisse son majeur le long du sillon, entre ses grandes lèvres et entre dans sa fente délicieuse. Le plaisir monte immédiatement en elle et la cyprine ruisselle lentement à l’intérieur de ses cuisses. Puis elle recule alors de quelques pas et se hisse sur la table de la salle à manger, s’allonge le dos, les fesses entrant en contact avec la toile cirée froide. Sa petite culotte est tombée sur ses chevilles.

Elle relève les genoux, offrant ainsi, face à la baie vitrée sa vulve ouverte, gonflée et trempée qui dégouline sur son anus qui se contracte. Ses doigts parcourent et glissent, descendant plus bas pour masser son périnée.

Son index caresse les petits poils blonds qui bordent la marge anale. Elle se cambre en se mordant la lèvre inférieure, gémit et peu après, ses bras ainsi que ses jambes retombent mollement. Elle a joui. Sa culotte est suspendue à sa cheville droite.

Elle a joui, mais pas aussi intensément que dans le bois. Une part d’elle sait qu’elle a triché; qu’elle n’avait pas pris de risque réel car personne ne vient jamais à la ferme l’après-midi. Alors elle décide de s’offrir une nouvelle séance plus intense dans le bois; elle laisse glisser sa culotte déjà bien humide jusqu’au bout de son pied, la fait tourner doucement et se dit qu’elle pourrait très bien s’en passer. Elle estime que sa jupette cache ce qu’il faut tant qu’elle ne se penche pas en avant; et puis, elle sera probablement rentrée avant tout le monde. Elle jette alors sa culotte dans le bac à linge et passe un coup d’éponge sur la toile cirée de la table…

Elle quitte la ferme et emprunte d’un pas rapide le chemin de terre sèche qui mène au bois; la route de l’extase qu’elle prend quand elle le peut pour assouvir sa soif de jouissance.

Là, elle ne triche pas, c’est sans filet. Le fait de marcher à l’extérieur sans culotte lui donne des frissons; elle pourrait croiser du monde. Le déplacement d’air fait vibrer ses poils pubiens, caresse son sexe libre. Elle sent que déjà sa vulve est très humide et l’excitation grandissante la pousse à marcher en serrant les cuisses. Elle doit lutter pour marcher normalement.

Elle entre dans le bois et court se cacher dans son repaire, au milieu des houx et des autres arbustes bien verts en cette saison. Courir ainsi, les fesses et le sexe à l’air libre lui a procuré de fortes sensations et elle ne regrette pas l’expérience.

Elle décide de se dévêtir entièrement et s’allonge sur ses vêtements. Elle replie ses jambes en ramenant ses talons contre ses fesses blanches et écarte ses genoux, offrant son sexe à la cime des arbres; ses muscles fins de ses cuisses se tendent et elle sent la fièvre monter. Elle glisse ses doigts à travers sa toison dorée et écarte délicatement ses grandes lèvres, expose son clitoris au jour; sa respiration et son rythme cardiaque accélèrent. Son index joue un moment avec ses petites lèvres et vient masser son bouton rose; elle sent qu’elle a les fesses trempées. Sa vulve enfermée dans sa main gonfle alors qu’elle entame un mouvement de rotation de plus en plus rapide et fait monter le feu en elle; il part du bas ventre et remonte rapidement jusqu’à sa tête. Son bassin tangue, elle gémit et se cambre tout en continuant d’imprimer sa pression sur sa vulve.

Elle n’entend pas les broussailles s’écarter et continue de gémir. D’un coup, elle se retourne et se positionne sur ses genoux, la figure au sol sur sa jupe, les fesses en l’air et entame un va et vient dans son vagin à l’aide de son index bientôt rejoint par son majeur; puis ce dernier, trempé glisse le long du périnée et vient masser en un mouvement circulaire son anus. Elle augmente la pression et la première phalange entre à l’intérieur de la cavité anale; elle ouvre la bouche et hoquète. Jeannette semble prise d’une transe, tout son corps est agité de spasmes alors que ses doigts entrent et sortent frénétiquement des ses deux orifices offerts à la vue de celui qui l’observe depuis un moment.

Jeannette pousse un long râle et se calme. Elle place finalement ses mains devant son visage. Elle reprend sa respiration quand elle sent son clitoris vibrer à nouveau; elle ferme les yeux et trouve cela délicieux. Son petit bourrelet charnu semble être parcouru par une douce et délicieuse caresse chaude, puis la caresse se fait plus forte et plus localisée sur la pointe de son bouton et finalement elle s’étend en remontant le long de ses petites lèvres, tente une incursion à l’entrée du vagin et remonte encore pour s’appesantir sur son anus. Un véritable délice ! Une autre caresse plus subtile qu’elle trouve finalement étrange flatte l’intérieur de ses cuisses.

Elle finit par rouvrir les yeux et réalise qu’elle n’est plus seule ! Quelqu’un la lèche ! Elle se retourne brusquement  et découvre un grand type costaud, barbu, accroupi qui lui sourit. Sa barbe est trempée et son pantalon est déformé sur le devant.

Jeannette tente de cacher son sexe et sa poitrine de ses mains et resserre ses jambes.

_ Mais… Mais… Que faites-vous ici ?

Le bûcheron s’essuie la barbe en la lissant de sa main. Toujours souriant : Délicieuse ! Tu es délicieuse. Ça t’a bien plu, il me semble… ça fait un moment que je te regarde, tu sais. Wouah ! Quel tempérament ! Tu es Jeannette, hein ? Je connais bien tes parents.

_ Vous… Vous ne leur direz pas, hein ?

_ Et puis quoi encore ? Bien sûr que non. Et dis-moi-tu. Je m’appelle Dylan, j’ai vingt-cinq ans… Tu fais toujours ça toute seule ? Ou tu as déjà connu un garçon?

Jeannette baisse les yeux : Toute seule…

_ Hum… Tu sais, c’est encore mieux à deux. Tu veux essayer ? Tu veux que je t’apprenne ? Je suis quelqu’un de doux.

_ Je… Je ne sais pas si…

_ J’ai des préservatifs, si c’est ça qui t’inquiète. Je ne t’obligerai pas. C’est toi qui décide. Mais ce serait idiot de passer à côté de l’occasion…

_ On peut faire un essai… Juste un essai pour voir…

_ OK. Je me déshabille. Tu es magnifique !

Jeannette est toute surprise par le pénis de Dylan; rien à voir avec celui de son frère qu’elle a pu apercevoir parfois, celui-là est bien plus long, plus gros et tendu alors que celui de son cadet était petit et pendait mollement. Et tous ces poils, partout !

_ Je vais m’allonger près de toi, mais en sens inverse; ainsi, j’aurai ton sexe en face de moi et toi, tu auras le mien. Il te suffit de le caresser doucement de bas en haut et de le lécher. Surtout le haut, le gland. Ensuite tu le mettras dans ta bouche et tu le suceras comme une glace, doucement et tu feras glisser ta langue et tes lèvres de haut en bas et de bas en haut. Après, on verra. Pendant ce temps-là, je vais reprendre ce que je faisais tout à l’heure. Vas-y mon chou; suce-moi.

Jeannette trouve ça curieux comme façon de faire mais s’emploie à caresser ce membre chaud et dur et finit par l’enfourner tout en fermant les yeux et en maintenant les bourses poilues aux creux de son autre main. Elle a l’impression, au out d’un moment,  d’être comme ces chiens en plastique qu’on place sur les lunettes arrière des automobiles et qui remuent constamment la tête…

Le bûcheron passe un bras sous la jambe de Jeannette et la pose sur son épaule, écartant ainsi les lèvres et faisant apparaître son clitoris luisant et sa jolie petite pastille rose. De sa langue expérimentée, il s’active et sent que ses actions déclenchent immédiatement des réactions chez sa partenaire : Des petits gémissements et des mouvements de bassin ponctuent ses coups de langue et Dieu qu’elle mouille ! Il joue maintenant avec les petites lèvres et retourne de temps en temps taquiner le clitoris tandis que ses doigts troglodytes investissent l’entrée vaginale. Jeannette couine de plus en plus, se cabre et finit par repousser le visage de Dylan avec ses mains.

_ Mon Dieu ! C’est dingue !

_ Veux-tu aller plus loin ?

_ Si tu le fais en douceur…

_ Promis.

Le bûcheron sort un préservatif de sa poche et l’enfile. Il attrape Jeannette par les hanches et la positionne à quatre pattes. Le petit cul blanc et rebondi de Jeannette face à lui. Il se tient à genoux derrière elle et tout en écartant de ses mains les petites fesses bien fermes, il frotte doucement de haut en bas sur les poils mouillés puis inversement son sexe dans ce magnifique sillon trempé maintenant, de l’anus à la vulve en s’arrêtant un instant sur le clitoris. Puis il en vient à pousser doucement à l’entrée du vagin, sent une petite résistance et insiste jusqu’à ce que l’hymen s’efface. Jeannette pousse un petit cri et maintenant que le passage est fait et que le pénis  effectue librement ses va et vient de plus en plus rapidement, elle pousse des gémissements aigus et ses épaules s’affaissent. Le bûcheron, tout en besognant humecte son pouce  et l’appuie sur l’anus trempé de cyprine en intimant un petit mouvement circulaire. Il augmente la vitesse de ses coups de boutoirs et Jeannette halète en poussant des petits cris; ses petits seins vont et viennent d’avant en arrière. Il accentue la pression de son pouce et la première phalange pénètre doucement l’anus qui se contracte aussitôt. Jeannette relève la tête et lâche un Oooh !

Le pouce tourne lentement à l’intérieur du rectum et va et vient, gentiment, élargissant, dilatant ce conduit vierge et si serré.

Le bûcheron ressort son pénis du vagin et Jeannette s’écroule à plat ventre, pensant que c’est terminé; mais le bûcheron la replace sur ses genoux, écarte ses petites fesses bien fermes  et enfonce doucement et avec détermination son phallus dans l’anus; la marge anale se tend et ce n’est plus qu’un fin bourrelet luisant qui lui enserre le gland. Il continue, petit à petit, un peu plus profond en faisant bien attention pour que ce ne soit pas douloureux et de plus en plus vite; tout en massant le clitoris de sa main libre.

Jeannette ouvre de grands yeux et serre les poings. La chair de poule parcourt tout son corps et ses tétons se durcissent comme jamais. Autant l’introduction ne lui a pas paru désagréable que maintenant, une grande chaleur lui embrase le fondement alors qu’un nouveau feu remonte de son sexe, tout autour du clitoris vers le ventre. Elle sent que son corps ne lui appartient plus, il remue tout seul sous les coups de boutoir du bûcheron qui pousse des grognements de bête, son abdomen est animé de spasmes et son bassin accompagne le mouvement du pénis en elle. Elle a l’impression d’être devenue une sucette avec son bâton à l’intérieur… Elle ne contrôle plus rien, elle perd pied, elle perd connaissance…

Quand elle revient à elle, le bûcheron est assis par terre à côté d’elle et la contemple. Il caresse sa joue avec douceur de sa main calleuse.

Jeannette se replace sur le dos puis s’assoit en faisant une grimace; son cul est brûlant. Elle lance un regard réprobateur : Putain ! J’ai le cul en feu !

_ Ça fait partie des pratiques sexuelles mon chou. Tu n’es pas obligée d’aimer ça. Certaines femmes aiment la sodomie, d’autres non. Maintenant, tu sais ce que c’est et libre à toi de recommencer ou pas. C’est toi qui vois…

_ Tu comptes revenir par ici ?

_ Sais pas. Peut-être. On verra…

Jeannette ne retournera plus au bois Tout de suite… Le souvenir qu’elle en a l’excite en diable, mais elle a trop de difficultés à s’asseoir en ce moment pour retenter l’expérience de sitôt ! Elle a trop mal au cul !

Elle a bien cru entendre la voix du bûcheron ces derniers jours, dans la cour de la ferme et elle est alors remontée dans sa chambre à toute vitesse, comme une fusée, rouge comme une pivoine et sa culotte était toute mouillée…

Elle a pris la décision de  ne plus se promener sans culotte ou de se masturber en extérieur. Du moins, pas aujourd’hui…